On va dire que je suis aimable [krness]

Fatiguée. Lasse. La belle en à marre de sa vie de princesse. Faut aussi dire que sa vie est un peu mouvementée en ce moment.. elle qui n'à pas eu de vie social depuis plus de sept ans, elle se retrouve face à des amitiées, à des choix à faire, des propositions...
C'est dur, une vie normal. C'est différent que d'être enfermée dans un internat à cause du meurtre de ses parents..
Et d'un frère... Trop occupé par son héritage pour se soucier de sa soeur. Mais maintenant, elle ne peux pas se permettre de se dire ça.. Impossible.. elle l'aime tellement...
Cet amour normalement familial est devenu bien plus que ça.. Depuis leurs soirées dans sa chambre ou sur la plage, ce nouvel amant lui rappel malheuresement Gaspard...
Chassant ses pensées, elle presse les flancs de son étalon et pars au galop. Il est très tôt.. dans les quatres heure du matin. Le soleil n'est pas encore lever. En revanche, un temps humide préviens l'aube qui approche...
Sur elle, son poncho sombre, qu'elle à remonter jusqu'à sa tête. On ne peux rien voir d'elle, a part un bas de visage sombre et impassible.
Couchée sur son cheval, elle se laisse bercée par le galop rapide et le souffle saccadé du frison.
Enfin, elle s'arete. Quelqu'un, non loin d'elle, est la.
Comme quoi, même à quatre heure du matin, il y à des gens dans cette foret !
Son cheval, souvent nerveux, n'avait pas encore vu l'étranger. Mais celui-ci fit malhereusement craquer une branche. L'étalon se redressa, et se cabra, cassant l'air de ses antérieurs. Cramponnée à la crinière longue ebene du cheval, elle le calma de la voix, et descendit.

"- Vous venez d'effrayer mon cheval, il me semble."

Un ton sec, froid, comme à l'accoutumée. Ne jamais la déranger quand elle est en pleine reflexion, à part si cette personne en fait parti..

Les nuits était longues, très longue, et il avait cassé ses derniers jouet, Krness s'ennuyait, un ennui mortel pour la plupart des gens pouvant croisé sa route si jamais ce sentiment muté en une colère qui était souvent pour lui une suite logique. Pas ce soir cela dit...
La nuit s'étendait de son voile noir d'un bout à l'autre ciel comme si jamais il ne reprendrai comme source de lumière autre chose que la clarté de la lune et ces filaments d'étoiles formant la voie lactée, il déambulait.
Il déambulait sans même savoir depuis quand où d'où il venait, il n'avait certes pas encore élut domicile dans une demeure quelconque mais il ce demanda l'espace d'un instant comment diable il avait bien put sortir de cette chambre d'hôtel! Il passa devant le temple sans pour autant y prêter la plus petite attention, il ne croisé personne, ni badauds, ni filles de joies, ni truands, il aurait aimé un poivrot pour boire avec lui, ou une pute pour ce faire offrir ses faveurs sans débourser un sous, ou même ce faire attaquer pour tuer. Il souffla désespéré par l'ennui que représenter cette ville parfois e souffla de nouveau en pensant à la rareté de tel moment, il aurait du prendre soins de cette fille, elle était morte trop vite.
Il marchait résolument bien que sans y penser vers la foret et gambadant nonchalamment il marmonnait des idées noirs.
Il n'avait pas un sous en poche, il était à jeun et il n'y avait personne pour le distraire...
Soudain, un hennissement ce fit entendre, interloqué il ce retourne pour voire une femme au maintient impeccable penchait sur son étalon et essayant avec succès de le rassurer, Avant même qu'elle ne lève les yeux vers lui, il observa cette demoiselle aux horaires tardives.
La nuit comme sa posture ne lui permettait pas de tout voire mais le reflet du ciel splendide de cette nuit sans fin lui offrit le spectacle de sa peau blanche, il pouvait aussi juger de sa silhouette, et, malgré une opulente poitrine elle ne manquait pas d'atouts, longiligne, de longue jambes des cheveux sombre...
La dame lui parla avec un ton sec, dédaigneux, il rit de son rire cristallins presque spontané, usant du talent il lui transmis une sensation de joie communicative sans insister pour de pas la brusquer,puis il la regarda ce tournant vers elle, un sourir radieux aux levres les yeux grands ouverts et persants irradiait par la lumière lunaire.

-Pardonnez moi ma Dame mais je crois bien que c'est ce cheval qui viens de me surprendre.

Son beau frison piaffait. Elle l'avait eut il y à de cela huit ans. Le cheval était fou, complètement peureux et effrayé par les hommes. La belle à toujours eu une passion pour les équidés, mais ce cheval ci était d'une noblesse qu'elle appréciait tout particulièrement.
Le rassurant d'un simple sifflement, elle mis pied à terre, et contempla le garçon d'un peu plus près.
Sa taille était très impressionnante. Même si Philomène peux se considérer avec une taille correct, elle était presque obligée de lever la tête pour mieux le détailler.
Des yeux noirs de jai, tout comme ses yeux. Des yeux, que, elle devait se l'avouer, elle avait bien du mal à se concentrer. Un leger eclat, presque mauvais, mais sans pour autant etre moqueur..
Tout ce que la belle noble aimait.
En temps normal, la gamine aurait répliquer à sa reflexion quelque chose de mauvais, froid, sec, voir plutot désagreable. Mais sans qu'elle n'y soit vraiment pour quelque chose, son visage s'adoucissa légerement, et elle répondit :

"- Disons que vous n'auriez pas dut être aussi enfoncer dans les bois par une nuit et que j'aurais du faire plus attention.."

Elle s'approcha de lui, et en toute femme sang pur qui se respecte, se présenta :

"- Philomène Helving. Je réside dans le quartier ouest avec mon frère Ezechiel."

Elle avait senti que ce n'était pas un noble, mais elle ne pouvait que le considerer comme telle, avec un maintien et un style assez aisé.

"- On ne vous à jamais dit que les foret étaient dangereuses la nuit ? Faites attention, les hunters ne sont jamais loin par ici... mais pourquoi y êtes vous,d'ailleurs ?"

La vampire à noble posture posa pied a terre penchant légèrement la tête en arrière pour mieux le toisé elle le scruta sans gène, il insista un peu plus pour la mettre à l'aise. Son talent était comme le couteau suisse des sentiments, et lui permettait d'incroyables choses, ici il jouait sur le ressentit qu'elle avait de cette rencontre, orientant son point de vue pour qu'elle soit plus encline à la gentillesse, une femme ce promenant seule à une tel heure de la nuit était certainement quelqu'un d'apte à ce défendre. IL sentait qu'il avait réussit à faire son petit effet mais elle semblait fière et quelque peu orgueilleuse, trop pousser le jeu et surtout trop vite la mettrait dans un conflits intérieur et certaine personne ce montrait passablement agressive quand cela arrivait, elle n'était pas une vulgaire humaine...
La monture c'était calmé sous l'effet d'un simple sifflement, une femme de pouvoir surement car il s'agissait bien plus d'autorité que de douceur. Une feuille glissa dans les airs et frôla son long manteau noir de tissus épais et de cuir, il frotta nonchalamment du dos de la mains presque avec dégout, que ce soit vivant ou non il ressentait souvent le dégout d'un contact à quelques exceptions prés, il était élitiste et se ce voyait, pour lui tout le monde n'avait pas la même valeur et ceux qui ce croyait "au dessus du panier" aimaient cette facette de sa personnalité.
Étrangement la belle avait très vite changeait de ton, et chercha même à partager les torts faisant ainsi quelque peu marche arrière sur son précédent reproche. A ces mots Krness lui sourit dévoilant un instant sa fine et blanche dentition de vampire au canines longues et affutées, la regardant droit dans les yeux sans insistance cependant pour ne pas l'insulter:

-Au non je vous en pris ne vous reprochez rien, perdus dans mes pensés je ne vous ais pas entendus arriver.

Il parlait avec convenance, on voyait que sa politesse était protocolaire mais il faisait tout de même un effort particulier car il n'avait personne à impressionner en ces lieux.La demoiselle au teint d'éphèbe s'approcha de lui, il lui communiqua une sensation de gène, du à la proximité, et une légère excitation d'outrepasser cet gène...
Elle ce présenta alors à lui, Philomène Helving, sœur d'un certain Ézéchiel et lui indiqua en partit ou elle vivait, elle était soit sur d'elle soit naïve pour tant en dire, à moins que l'évocation de ces deux noms ait du faire échos chez Krness...
Il s'inclina accompagnant sa salutation muette d'un geste de la mains avant de lui répondre:

-Enchanté de vous rencontrer ma Dame, je n'avais encore pas et le loisir d'entendre parler de vous. Je suis Krness Hellsong et je suis votre obligé. Je ne suis le frère de personne que je saches en tout cas et je ne puis vous indiquez ou je vie n'ayant entendre trouver de demeure me satisfaisant, je passe ainsi d'un hôtel à un autre.

Peu être sous le coup de la paranoïa il ce demanda si le fait qu'elle mette en avant les dangers de la fôret n'était pas une façon dans savoir plus sur ses capacité, il lui sourit avec douceur:

- Merci de vous en inquiéter mais je peux m'en défendre, ce ne son que des humains, il suffit de leur faire peur... Pourquoi suis-je ici? J'avoue ne pas le savoir avec exactitude je m'ennuyait et j'ai finit ici, c'est calme et secret... Puis-je vous retournez la question?

Dur. Très dur, quand nos habitues se résument à être froide, méchante & mesquine. La gamine ne savait plus quoi faire. Ou continuer sur ce qu'elle avait commencer, une attitude gentille mais gardant un petit mystère, ou devenir plus froide et plus distante avec son interlocuteur. Mais sa politesse bien développée forçait un peu Philo à paraitre gentille...
Et à l'être sans le faire exprès, finalement..

"- Je suis venue ici parce que..."

* Parce que j'aime sentir l'odeur agréable de la nature endormie, j'aime entendre les sabots d'Eden qui claquant sur le sol dur, j'aime voir le soleil se lever, j'aime être seule, nostalgique... *

"- Parce que je n'arrivais pas à trouver le sommeil ! Et je préfère largement faire une balade nocturne plutôt que de me retourner dans mon lit."

Sage mensonge, assez réel tout de même.
Le ciel devint de plus en plus rosé, un fin rayon de soleil parcourant le ciel d'un bleu timide.

"- Et que comptez vous faire à présent ?"

Waouh.. très très court, excuse moi... pas tellement d'inspiration, en fait..]]

A la clarté de la lune la jeune femme était sublimée et Krness ce surprit à ce demandait à quoi elle ressemblerait à la lumière du jour... Serait-il déçu? Probablement pas, elle portait en elle l'assurance d'une vampire sur de son physique à moins que cela vienne de sa situation, mais les deux allez souvent ensemble. Lisant en elle son trouble il insistât un peu plus pour qu'elle ce sente à l'aise, il adorait pratiquer le talent même s'il ne prendrait pas le risque d'en jouer à ne sordide fins, un vampire de ce calibre aurait surement des amis pour la vengeait et il ne pouvait ce permettre cela, il devait creusé son trous et pour l'instant du moins il était seul.
Ignorant qu'il pouvait lire en elle aussi aisément que dans un livre elle ne lui dit pas les mots qui lui seraient venus à la bouche si son orgueil ne lui avait dictés des propos moins emprunts de sensibleries. Gardant pour lui le côté presque romantique des raisons l'ayant poussé à sortir il fit comme si seul ses paroles existait:

-Je ne puis que vous comprendre je vous l'avoues, l'insomnie et le fléau des âmes torturés pourtant, vous n'avez pas l'air d'une mauvaise personne mais je ne vous ferez l'affront de vous demandez qu'elle blessures vous empêches de trouver le sommeil.

Il leva les yeux vers le ciel perdant son regard dans le vide oubliant un instant ou il était, il était épuisait, ses propres insomnies lui faisait perdre quelques peu la notion de réalité, d'autant que son talent étant non seulement de pénétrer l'esprit des gens mais aussi d'agir directement dessus donc coupé de la réalité et emplissant l'esprit de proies diverses d'hallucinations il se perdait lui même parfois.
En une seconde il lui projeta l'image de leurs deux corps enlacés s'embrassant langoureusement et arrêtât aussi sec.
Mais la voila qui demandait quels était ses projets, il resta impassible de montrant qu'il n'aimait pas trop son côté curieux, enfin peut-être bien que c'était normal que les discussions partent dans ce sens là chez les gens "normaux"...

-A vrai dire ma Dame j'ignore encore comment je me suis retrouver ici alors savoir ou je vais aller ou même ce que je vais faire me dépasse encore, pour le moment je converse avec vous, une telle vision enchanteresse à une heure aussi poussé de la nuit mérite que l'on y prête attention .

Il ramassa une mèche rebelle, et lui dit mentalement de croire qu'elle le gênait pour la contempler, puis, il lui sourit, sourire qui s'effaça faisant place à une mine gênée comme s'il était honteux d'avoir marqué une tel joie de la voir.

-C'est une belle monture que vous avez, bien que visiblement aisément impressionnable... Quel en ai le nom?