A la bibliothèque...(possiblement X)

En ville, une grande bâtisse avait attiré Angie. Elle avait monté les 44 marches devant cette grande "maison" et lu difficilement

Bibliothèque

La porte qui la séparait de l'endroit inconnu, paraissait immense en comparaison de la taille de la jeune fille. Elle était en bois, un vieux bois non-poncé. Une écharde fit le bonheur de Angie lorsqu'elle rentra dans son doigt. La porte était assez lourd, pour entrer dans ce lieu il fallait le vouloir. Elle parvint a ouvrir la porte et la lacha lorsqu'elle fut entrer entrainant un bruit sourd, celui d'une porte de deux ou trois kilogramme qui claqua, et ensuite un bourdonnement de "chuut!". Elle n'en fit pas attention. Tout autour d'elle était livre. A droit et à gauche du premier obstacle, qu'est la porte, se trouvaient de grandes étagères ou était stocker des livres manuscrits. Puis devant elle, au centre de cette maison de livre, il y avait un dénivelé [cf Alaska] sur lequel des tables étaient placées, où des personnes travaillaient. Cela formait un cercle au centre de la biblitohèque. Les étagères l'entourait en laissant des chemins pour y accéder...

Angie fit le tour de la bibliothèque, et arriva dans l'espace réservait au débutant de la lecture. Personne n'y était. Elle s'assit et prit un livre et commença a lire doucement tel le vieux qui lisait des romanc d'amour!

Alex avait besoin d'un peu de calme. Les évenements passés ont eu cause de l'epuiser. Et la bibliothéque lui semblait un bon moyen de pioncer un peu sans être totalement seul.
A cette heure de la journée, tout le monde étaient occupés à dejeuner et le soleil trop lourd empechaient les gens de sortir. Alors, il n'y avait pas grand monde à l'intérieur.
En entrant, la bibliothéquaire lui sauta dessus.

"- Bonjour !! Si vous avez besoin d'un renseignement n'hésitez paaas. Je suis diisponible à toute heure !!"

Alex eut un sourire. Si cette femme lui adressait la parole encore une fois, il l'a tuerait. Il trouvait tellement ridicules toutes ses personnes qui lui léchent les bottes...
D'habitude, surement aurait t-il aimer. Mais la, non.
Il alla vers le fond, sans un regard à la femme, et s'assit sur une chaise.

Dans sa lecture, assez infantile, Angie ne savait pas encore se concentrer et lorsque la femme à l'accueille avait demandé au jeune homme

"- Bonjour !! Si vous avez besoin d'un renseignement n'hésitez paaas. Je suis diisponible à toute heure !!"

Elle leva la tête et lui lança un regard noir. Elle perdit le début de l'histoire et dû reprendre tout à zéro.
L'homme qui venait d'arriver était parti s'installer sur une chaise sans livre... Elle le regardait du coin de l'oeil. Il était assez spécial. Il était là, sur une chaise, sans livre, sans papier, sans plume. Il ne regardait personne et personne ne le regardait... A part Angie qui se faisait discrete son livre devant son visage pour imiter une grande passionnée des livres. Les autres ne le dérangeait pas, il ne s'inquietait même de ce qu'il pouvait faire ou ne pas faire... Il était juste là!

-->Edit Ezechiel : Attention à respecter la longueur minimum des posts qui est de 10 lignes
Merci

Alexandre prit place sur sa chaise, soupirant.
Le coin était ennuyeux. Il voulait bouger, mais sa force l'en empêchait. Depuis l'accident avec Harsh, cette hunter avec qui il avait fait connaissance, il avait perdu beaucoup de sang...
Et ce sang faisait partie de sa force.
Il sentit alors une odeur. Une odeur de vampire. A l'affut, il releva les yeux. Il n'y avait que quatre personnes dans la salle.
Une gamine, qui piochait des livres dans une caisse. Elle n'avait pas l'air bien méchante...
La bibliothécaire, qui lui faisait toujours les yeux doux.
Un homme, qui cherchait des grimoires anciens,
et une femme, assez jeune, qui semblait lire un livre d'enfant.
Il haussait les épaules. Son odorat devait lui jouer des tours. Il croisa ses bras sur la table et mit sa tête dessus.
Les yeux clos, il essayait de trouver le sommeil...

Edit : Je verouille ce sujet étant donné qu'Angie Hogosuki n'y à pas répondu depuis presque trois mois...
Je le dévérouillerais si jamais elle le désire.